" Dans son essai, la conservatrice Madeleine Grynsztejn étudie la démarche singulière d'un artiste qui mêle l'innovation technologique à son art. Le critique et conservateur Daniel Birnbaum s'entretient avec l'artiste de la disposition des œuvres et de leur environnement immédiat, que celles-ci soient exposées au sein d'un musée ou en extérieur dans un lieu isolé. Dans la section Focus, le théoricien de l'architecture Michael Speaks se penche sur l'œuvre d'Eliasson Green river (1998), qu'il compare au film tourné par Michelangelo Antonioni en 1964, Le Désert rouge.
L'artiste a choisi un extrait de L'Évolution créatrice (1907), d'Henri Bergson, qui traite de notre rapport subjectif et visuel à la nature, thème également central de son art. Les écrits d'Olafur Eliasson rassemblent un essai sur le plus banal des sujets, le temps qu'il fait, et une lettre ouverte intitulée Chers tous, adressée à tous les observateurs de ses œuvres sensuelles et sophistiquées. "
Abondante iconographie en couleurs, in-texte et à pleine page.
En fin de volume, sur un épais papier poil de chameau :
.Chronologie (Copenhague, 1967), expositions, projets (25 fig.)
.Bibliographie
Phaidon, " Artistes contemporains ", 2007, 25 x 29 cm, broché, couverture blanche, jaquette illustrée à très larges rabats, 160 pages.
9780714897059/978-0-7148-9705-9
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