Publié à l'occasion d'eune exposition présentée par la galerie Maeght Lelong (Paris VIIIème), dont les dates ne sont pas précisées.
" Je décidai de créer tout un système par les thèmes de ma machine et de raconter ma biographie en me servant d'eux. Le lycée terminé n'avais-je pas hésité à devenir peintre ou écrivain ? A ma manière, je pouvais faire les deux.Ce qui importait était la précision - il n'était pas possible de peindre une machine de manière vague -, ce qui importait était la justesse de la composition dans l'équilibre de tension et d'harmonie, et, quand à la couleur, de simplicité et d'éclat. (...)
" Vous faites toujours des machines ? Vous n'en avez pas encore marre ? "
" Non, mon roman n'est pas encore terminé. "
Konrad Klapheck
-Il est des mots... de Werner HOFMANN
-Pourquoi je peins par Konrad KLAPHECK
Vingt reproductions dont 16 sont à pleine page et 7 en couleur : séries Machines à écrire, Machines à coudre, Téléphones, Roues et véhicules, Timbres de bicyclette...
Portrait en noir et blanc par Peter SEVRIENS
.Œuvres exposées (20 numéros, 1979-1984))
Konrad PLAPHECK, Düsseldorf, 1935
Galerie Maeght Lelong, " Repères. Cahiers d'art contemporain ", 1985, 22 x 31,5 cm, broché, couverture illustrée à rabats (Autobiographie, 1983), 32 pages.
2 85587-132-8
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